Le vieil autodrome milanais vibre de nouveau. Dans le temple de la vitesse, le miracle n’a peut-être pas eu lieu, mais le prêche de la squadra Ferrari n’en a pas moins ranimé la ferveur des tifosi. La grande messe annuelle dans le parc de Monza a mis fin au tumulte des précédents Grands Prix. Si le cœur de l’armée rouge saigne un peu au pied du promontoire, ce n’est pas à cause de Max Verstappen qui vient de défaire Charles Leclerc, mais à cause de la direction de course qui a pris son temps pour évacuer la McLaren de Daniel Ricciardo avec pour bilan une ligne coupée derrière la voiture de sécurité. Privés d’un rush final qui aurait peut-être permis au Monégasque de griller la politesse au Néerlandais, les tifosi voient rouge et se déchaînent. Voilà que volent les noms d’oiseaux et les huées. Victime expiatoire du mécontentement général, c’est Max qui prend les quolibets en pleine figure. C’est profondément injuste, car l’homme et sa machine ont été en tous points dominateurs, mais ça soulage les tifosi qui n’ont pas de représentants du pouvoir sportif à se mettre sous la dent. « Huer un pilote n’est jamais bon, surtout quand il a été le plus rapide sur la piste et qu’il mérite la victoire, exp
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