La Pirelli punta su 2 o 3 soste nel GP del Canada

Pirelli si aspetta di vedere i team adottare strategie diverse nel Gran Premio del Canada. Il produttore italiano, che farà testare ai team i suoi nuovi pneumatici nelle prove libere, ritiene che la flessibilità della tattica potrebbe fare la differenza.

pubblicato 03/06/2013 à 17:59

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La Pirelli punta su 2 o 3 soste nel GP del Canada

Si l’usure des pneus n’était pas trop importante au Grand Prix de Monaco, le circuit de Montréal qui accueille la F1 cette semaine sera plus abrasif pour les gommes. Pirelli a opté pour un choix plus conservateur que l’an dernier en apportant les mediums et les super tendres dont les caractéristiques correspondent aux températures basses. Ce sera également l’occasion pour les pilotes de tester deux trains de pneus prototypes medium qui devraient être exploités pour le reste de la saison si les écuries sont unanimes. Avec les données récoltées l’an dernier, le fournisseur de la F1 pense atteindre son objectif d’une course réalisée en deux ou trois arrêts. « Nous nous attendons à deux ou trois arrêts en course par auto mais nous ne serons en mesure de faire des prévisions précises qu?au terme de la journée de vendredi, après du roulage en piste. Il s?agit d?un circuit où les conditions météo jouent souvent un rôle crucial », commenta Paul Hembery, direttore sportivo Pirelli.

I Mercedes seront étudiées de près au moment où l’affaire des essais privés agite le paddock de la F1. Si les Flèches d’Argent étaient pressenties comme des candidates à la victoire dans les rues de la Principauté, le niveau de la dégradation de leurs gommes pourra être comparée avec celui observé à Barcelone. Néanmoins, la météo incertaine et les sorties fréquentes de la voiture de sécurité multiplient les opportunités dans le peloton, ce qui obligera les écuries à se préparer à toutes sortes d’imprévus. « En raison du niveau d?usure et de dégradation important, nous nous attendons à voir différentes stratégies à l?oeuvre, comme l?an dernier, avec des équipes décidant d?opter pour une stratégie « sprint », ou de faire moins d?arrêts en plaçant l?accent sur l?endurance », poursuit Paul Hembery. « L?an dernier, c?est l?approche « sprint » qui a payé (avec la victoire de Lewis Hamilton), mais avec tant de paramètres en jeu, les équipes devront analyser les données -sans parler de la météo- avec une grande attention avant de s?attacher à une quelconque tactique. Une approche flexible fonctionne souvent le mieux au Canada et l?on peut s?attendre à ce que beaucoup d?équipes gardent des options afin de permettre aux pilotes de réellement faire la différence quand c?est important ».

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