Trois semaines après avoir disputé les 26 heures de Portimão, plus longue course de la saison, la Lamera Cup faisait escale à Valencia. Une piste moderne inaugurée en 1999 : 4 km d’un développement technique qui n’offre pas les plus hautes vitesses de pointe, mais dont les 14 virages et la courte ligne droite obligent les pilotes – 86 engagés sur 25 autos – à une concentration constante. Deux courses de 5 et 7 heures étaient programmées lors de ce meeting aux enjeux élevés. En effet, dans l’ensemble des trois catégories, Elite, Pro-Am et Gentleman, aucun équipage n’a pris suffisamment d’avance au championnat pour espérer être titré avant la finale qui se jouera à Dijon fin octobre. Depuis dix ans que la Lamera Cup existe, ce scénario est peu ou prou le même chaque année. Pour le plus grand plaisir des équipes et des compétiteurs, désireux d’en découd
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